16 septembre 2025

Recette bœuf bourguignon de grand-mère avec le secret pour une viande fondante en 3h

découvrez la recette traditionnelle du bœuf bourguignon de grand-mère, avec l’astuce secrète pour obtenir une viande ultra fondante en seulement 3h de cuisson. un plat convivial, savoureux et parfait pour régaler toute la famille !

Le bœuf bourguignon rassemble autour d’une cocotte fumante, où chaque minute de mijotage révèle un parfum de cave fraîche et de feu de bois. Une viande qui se délite à la cuillère, une sauce brillante aux reflets de rubis, et des légumes qui ont pris le temps d’écouter le vin rouge: voilà la promesse. Dans les cuisines familiales, le secret d’une tendreté irrésistible tient en trois piliers: un bon morceau riche en collagène, une marinade bien pensée, et une cuisson douce de trois heures à feu maîtrisé. Les marques du quotidien, du fait‑maison à l’accessible, s’invitent sans complexe: une cocotte en fonte Le Creuset ou sa cousine robuste, un filet d’huile Lesieur, un bouillon discret Maggi si besoin, une belle viande type Charal ou de boucherie, et des emplettes futées chez Carrefour ou Leader Price. Les puristes souriront, les curieux se régaleront. Place à une méthode pas à pas, précise et bienveillante, pour une viande fondante en 3 h chrono, sans drame culinaire.

Table des matières

Bœuf Bourguignon Traditionnel de Grand-Mère: recette inratable et secret d’une viande fondante en 3h

Pour obtenir ce fondant mythique, l’itinéraire est clair: mariner, saisir, mijoter, reposer. Le temps est un ingrédient à part entière. Une marinade la veille imbibe la viande, une saisie franche révèle les sucs, la cuisson longue transforme le collagène en gélatine, puis le repos fait se lier la sauce. Cette version suit les codes familiaux et intègre des repères précis afin d’éviter tout hasard. Elle s’appuie sur des ustensiles fiables (cocotte en fonte Le Creuset ou équivalent), des ingrédients simples et une discipline douce: ne rien brusquer, tout accompagner.

Recette détaillée pas à pas: marinade, saisie, mijotage

Préparer la veille facilite l’organisation et renforce les arômes. La viande est découpée en cubes généreux pour une tenue parfaite à la cuisson. La marinade au vin rouge de Bourgogne enveloppe; les légumes la ponctuent; le bouquet garni structure l’ensemble. Le jour J, la saisie à feu vif scelle les sucs, puis la cuisson douce à couvert de 3 heures fait toute la magie. Un ajout de champignons en fin de parcours apporte une profondeur supplémentaire à la sauce.

📦 Ingrédients ⏱️ Durée de préparation 👨‍👩‍👧‍👦 Nombre de personnes
1 kg de bœuf (paleron, collier ou joue) 🥩 + 200 g de lardons 🥓 + 3 carottes 🥕 + 2 oignons 🧅 + 2 gousses d’ail 🧄 + 250 g de champignons 🍄 + 1 bouteille de vin de Bourgogne 🍷 + bouquet garni 🌿 + 2 c. s. de farine + huile Lesieur + sel/poivre 🧂 Marinade 24 h la veille + Cuisson le jour J: 3 h 6 convives heureux 😋

Étapes clés à respecter, sans improvisation superflue:

  • 🍷 Mariner 24 h au frais: viande en cubes (4 cm), carottes en rondelles, oignons émincés, ail écrasé, lardons, bouquet garni, vin rouge.
  • 🔥 Égoutter, filtrer la marinade, puis saisir la viande dans la cocotte avec un filet d’huile Lesieur.
  • 🥕 Faire revenir les légumes et lardons; saupoudrer 2 c. s. de farine (singer).
  • 🍷 Déglacer avec la marinade filtrée, couvrir à peine d’eau si nécessaire, assaisonner.
  • ⏳ Mijoter à feu très doux ou au four 150°C pendant 3 h, à couvert, en mélangeant doucement à l’occasion.
  • 🍄 Poêler les champignons à part 5 min et les ajouter 30 min avant la fin.

Le petit plus qui change tout

Pour une sauce brillante et profonde, une pointe de chocolat noir 85 % (un carré) en fin de cuisson arrondit l’amertume du vin sans sucrer la préparation. En appoint, une demi-cuillère de concentré de tomate ou un micro-cube Maggi dilué peuvent corriger l’assaisonnement avec mesure. Servir après 10 minutes de repos hors du feu: le relâchement thermique homogénéise la texture.

  • 💡 Astuce service: nappage généreux, herbes fraîches ciselées, et un trait d’huile Lesieur pour la brillance.
  • 🧊 Bonus repas du lendemain: réchauffer très doucement, la sauce gagne en onctuosité.
  • 📚 Pour s’inspirer: consulter des variantes notées sur Marmiton tout en gardant l’esprit traditionnel.

En filigrane de cette méthode, la clé reste la même: laisser faire le temps, sans précipitation, pour une viande qui s’effeuille à la cuillère.

Choisir la viande, le vin et les aromates: l’ossature d’un bœuf bourguignon qui fond en bouche

Un bourguignon mémorable commence au marché. Les morceaux riches en collagène, une bouteille de vin rouge franc et des légumes nets assurent une base sans faille. Un paleron bien persillé ou une joue de bœuf s’adoucissent à la cuisson lente et offrent cette mâche fondante si recherchée. Côté vin, un Bourgogne (Pinot Noir) reste l’archétype: fruits rouges, tanins souples, finale nette. On peut choisir un vin d’une autre région, mais toujours « buvable » pour préserver la finesse de la sauce.

Morceaux recommandés et taille de découpe

La découpe influe sur la texture finale. Des cubes de 4 cm permettent une cuisson homogène sans dessèchement. Le collier, le gîte et la joue figurent parmi les meilleures options, notamment quand une cuisson de 3 h est prévue. Les morceaux plus maigres comme le rumsteck sont à réserver aux versions rapides (autocuiseur), au risque de devenir secs au long cours.

🥩 Morceau 🧪 Collagène ⏳ Cuisson douce ✨ Résultat en bouche
Paleron Élevé 💪 3 h Ultra fondant 😍
Joue Très élevé 💪💪 3 h à 3 h 30 Soyeux, nacré ✨
Collier Moyen à élevé 3 h Moelleux, juteux 😋

La qualité n’exclut pas la prudence budgétaire. Une viande de boucherie locale ou un choix certifié (ex.: lots sélectionnés type Charal) garantissent une base saine; ceux qui optimisent le budget peuvent composer avec de bonnes trouvailles chez Carrefour ou Leader Price. Pour les lardons, une coupe fumée équilibrée renforce la sauce sans la dominer. Les légumes doivent être fermes et jeunes: carottes, oignons, céleri (en option), champignons de Paris. L’huile neutre — par exemple Lesieur — assure une saisie régulière.

Vin, bouquet garni et sel maîtrisé

Le vin est l’âme du plat. Un pinot noir simple, net, est souvent privilégié. On évite les vins trop boisés pour ne pas écraser les arômes des légumes. Le bouquet garni — thym, laurier, persil — structure l’ensemble. Côté sel, prudence: les lardons et un éventuel bouillon Maggi apportent déjà du sodium; mieux vaut rectifier en fin de cuisson. La marinade de 24 h favorise l’attendrissement: les tanins se fondent, la viande s’imprègne d’une élégance fruitée.

  • 🛒 Priorités d’achat: morceaux à mijoter, légumes frais, vin « qu’on boirait à table ».
  • 🥦 Légumes: carotte sucrée, oignon doux, céleri discret, champignon poêlé à part.
  • 🍷 Vin: Bourgogne en tête, ou rouge corsé équilibré; bannir le vin âpre ou oxydé.
  • 💡 Marque repère: inspiration recettes sur Marmiton pour affiner les proportions.

Préparer sa mise en place avec ou sans robot

Si le couteau reste roi, un Thermomix peut accélérer l’éminçage régulier des oignons et carottes sans nuire à l’esprit traditionnel. L’essentiel est de conserver des morceaux lisibles et un taillage net pour une cuisson uniforme. Une fois tout pesé, taillé et rangé par catégories, la séance en cocotte gagne en fluidité et évite les gestes précipités.

  • 🔪 Taillage soigné: rondelles de carottes régulières, oignons semi-fins.
  • 🧺 Rangement: bacs distincts pour viande, légumes, aromates.
  • 🕰️ Anticipation: marinade lancée la veille pour un planning « zéro stress ».

Pour aller plus loin sur la sélection des ingrédients, une démonstration vidéo permet d’évaluer la bonne couleur de saisie et la taille idéale des cubes de bœuf.

Avec ces repères d’achat, la suite devient simple: une cocotte, un feu doux et la patience feront le reste.

Cuisson maîtrisée: cocotte Le Creuset, secret des 3 heures, et astuces de chef pour une sauce onctueuse

La cuisson est le moment où tout se joue. Une cocotte en fonte, type Le Creuset, stabilise la chaleur et diffuse doucement l’énergie. Saisir la viande par petites quantités évite de « bouillir » dans son jus. Les sucs au fond sont déglacés avec la marinade filtrée, puis la cuisson douce — environ 150°C au four ou petite ébullition à la plaque — transforme peu à peu les fibres. La sauce s’épaissit par le léger voilage de farine et la gélatine issue du collagène, pour un nappage soyeux.

Saisir sans brûler, déglacer sans diluer

La saisie se fait à feu vif, par lots, en laissant l’espace autour des morceaux. On recherche une coloration noisette. Les légumes reviennent ensuite pour se lustrer dans les sucs; la farine enrobe et fixera la texture. Le vin entre en scène pour déglacer: on récupère toutes les saveurs caramélisées. Couvrir à peine d’eau si nécessaire. Assaisonner modérément et glisser le bouquet garni.

  • 🔥 Saisie par petites quantités: croûte dorée, pas de vapeur.
  • 🍲 Déglacer au vin filtré: récupérer les sucs sans excès de liquide.
  • 🧂 Sel tardif: rectifier en fin de cuisson pour préserver l’équilibre.

Le secret des 3 heures: juste ce qu’il faut pour fondre

Autour de 3 h, le collagène se convertit en gélatine, liant la sauce et assouplissant la chair. Moins, la viande résiste; plus, elle peut s’effilocher sans tenue. Remuer doucement toutes les 30 à 40 minutes. À 30 minutes de la fin, ajouter les champignons poêlés: ils livrent leur parfum sans se saturer d’eau. Pour une brillance discrète, un trait d’huile Lesieur au service fonctionne très bien.

  • ⏳ Repères de texture: viande souple au couteau, sauce qui nappe la cuillère.
  • 🍫 Finition: un carré de chocolat noir 85 % pour arrondir les tanins.
  • 🧊 Repos: 10 minutes hors du feu, puis service; ou nuit au frais pour encore plus de fondant.

Adaptations: four, plaque, autocuiseur

Au four (150°C), la chaleur enveloppe uniformément la cocotte, parfait pour une texture régulière. À la plaque, maintenir un frémissement calme. En version express, l’autocuiseur réduit le temps à 1 h 30, mais privilégier alors des morceaux plus tendres. Une touche de bouillon Maggi ou de fond brun réduit maison peut équilibrer en fin de cuisson si nécessaire.

  • 🔥 Four: 150°C, cocotte couverte, 3 h; contrôle toutes les 45 minutes.
  • 💨 Autocuiseur: 1 h 30 sous pression, morceaux tendres (ex.: rumsteck en cubes).
  • 📌 Plaque: frémissement régulier, couvercle, surveillance douce.

Pour visualiser la bonne intensité de frémissement et la couleur de saisie, une seconde vidéo d’atelier est bienvenue.

En définitive, la cuisson réussie repose sur une chaleur douce, régulière, et un contrôle serein: la sauce raconte le temps passé ensemble.

Accompagnements, dressage et accords: pommes de terre, pâtes, pain de campagne et vins complices

La sauce mérite un partenaire qui l’écoute. Pommes de terre vapeur, purée à l’ancienne, tagliatelles fraîches, riz blanc ou pain de campagne croustillant: chacun capte le jus et prolonge les saveurs. L’idée n’est pas de surcharger, mais d’absorber la sauce tout en ajoutant des textures complémentaires. Un vert croquant (haricots verts, épinards juste tombés) réveille l’assiette. Pour s’inspirer, de nombreuses variantes de dressage se retrouvent sur Marmiton ou via les chefs en ligne.

Les grands classiques qui fonctionnent à chaque fois

Pommes de terre et bourguignon forment un duo mythique. La purée au beurre froid monté au fouet donne un nuage moelleux, pendant que les pommes vapeur gardent un croquant sincère. Les pâtes larges — pappardelle, tagliatelles — capturent admirablement la sauce. Le pain de campagne fait figure de rituel: la tranche croustillante s’imprègne au dernier moment.

  • 🥔 Pommes de terre: vapeur, purée, rôties au thym.
  • 🍝 Pâtes fraîches: tagliatelles, pappardelle, cuisson al dente.
  • 🍞 Pain de campagne: croûte craquante, mie alvéolée pour « saucer ».
  • 🥬 Légumes verts: haricots à l’ail, épinards au beurre noisette.

Accords mets-vins et idées service

Un rouge de Bourgogne sans bois prononcé reste un accord naturel. On peut oser un côtes-du-rhône souple ou un fronton fruité. Servir dans des assiettes chaudes, nappage généreux, brunoise d’herbes fraîches pour la touche finale. Un filet d’huile Lesieur pour la brillance, quelques grains de sel au dressage si nécessaire.

  • 🍷 Accord sûr: pinot noir droit et fruité.
  • 🍇 Alternatives: côtes-du-rhône, bordeaux souple, fronton.
  • 🌿 Finition: persil ou ciboulette, fraîcheur et couleur.

Idées famille, enfants et anti-gaspillage

Réchauffer le lendemain révèle une autre dimension: la sauce a gagné en liant. En cuisine familiale, une petite portion peut être mixée avec pommes de terre et carottes pour une texture douce destinée aux jeunes palais, en veillant à supprimer l’alcool résiduel par une cuisson prolongée et à adapter la texture. Des purées inspirées des profils « doux » que l’on trouve chez Blédina peuvent servir d’idée de texture, sans ajouter de sucre. Pour varier les repas, recycler le reste en parmentier, feuilleté ou croques trempés dans la sauce.

  • ♻️ Anti-gaspillage: parmentier au bourguignon, ravioles maison, croque-sauce.
  • 👶 Texture douce: purée carotte-pomme de terre, sauce bien réchauffée.
  • 🛒 Courses malines: pain de campagne de boulangerie, offres chez Carrefour ou Leader Price.

Pour le visuel et l’inspiration dressage, un défilement d’assiettes signées par des passionnés donne des idées simples et efficaces.

Le service cherche l’équilibre: du réconfort, de la tenue et une assiette lisible qui met en scène la sauce sans la diluer.

Variantes, inspirations modernes et culture culinaire: express, végétarien, et passerelles vers d’autres classiques

Sans trahir la tradition, la cuisine évolue. Les contraintes de temps, les préférences alimentaires et la curiosité incitent à explorer des versions adaptées. Une cocotte-minute offre une trajectoire plus rapide; une interprétation végétarienne replace le relief sur les champignons et le seitan; une parenté savoureuse s’exprime avec le coq au vin — clin d’œil à l’univers Maître Coq. L’important demeure: une sauce cadrée, un assaisonnement équilibré et la recherche de fondant.

Version express: autocuiseur et morceaux adaptés

Pour la semaine, réduire la marinade à 2 h — en massage avec aromates — et passer en autocuiseur propose un compromis solide. Choisir alors un morceau plus tendre (ex.: rumsteck en cubes moyens) et limiter la cuisson sous pression à 1 h 20–1 h 30. Les champignons sont toujours poêlés à part et ajoutés en fin de cuisson. Cette version profite d’un petit ajustement: un fond brun minute, éventuellement un soupçon Maggi, pour « arrondir » le profil.

  • ⚡ Marinade courte: 2 h intensives au frais.
  • 🥩 Morceaux tendres: cuisson raccourcie, texture préservée.
  • 🍄 Champignons sautés: saveur intacte, pas d’eau superflue.

Interprétation végétarienne: umami et textures

Remplacer la viande par des portobellos charnus et du seitan mariné au vin rouge reproduit une mâche intéressante et une belle complexité. Les lardons peuvent être substitués par une alternative végétale fumée. Les étapes restent semblables: saisie des éléments, déglacage au vin, mijotage doux, finition aux champignons. La réussite tient à l’équilibre du sel et aux herbes fraîches généreuses.

  • 🌱 Champignons portobello + seitan: duo texture-saveur.
  • 🧄 Aromates renforcés: ail confit, bouquet garni ample.
  • 🌶️ Option fumée végé: lardons végétaux pour profondeur.

Passerelles: coq au vin, pot-au-feu et traditions

La proximité avec le coq au vin est évidente: vin rouge, lardons, champignons, bouquet garni. Une volaille de qualité — clin d’œil aux volailles Maître Coq — suit une logique semblable de marinade et de cuisson douce. Du côté du pot-au-feu, la maîtrise du bouillon et du temps fait écho à la même philosophie. Les ressources et inspirations foisonnent sur les plateformes de recettes comme Marmiton, où les retours de cuisiniers amateurs et professionnels nourrissent les versions successives.

  • 🐓 Coq au vin: même grammaire culinaire, autre texture.
  • 🍲 Pot-au-feu: précision du bouillon, temps long.
  • 📖 Partage d’astuces: communautés de passionnés, essais/réglages.

Pour les passionnés d’appareils modernes, un Thermomix facilite la mise en place (taillage, hachage) sans altérer l’esprit mijoté qui se joue ensuite dans la cocotte. Côté approvisionnement, les enseignes généralistes — Carrefour pour la diversité, Leader Price pour les prix — cohabitent avec les artisans (bouchers, maraîchers) pour un panier hybride qualité/prix.

  • 🧰 Organisation: robot pour la prépa, cocotte pour la cuisson.
  • 🛍️ Mix achats: boucher + grande surface, équilibre optimal.
  • 🧑‍🍳 Rigueur: même en version moderne, respecter l’ordre des opérations.

Ces voies parallèles confirment un principe immuable: ce qui compte, c’est la structure — temps, température, assaisonnement — davantage que la liste d’ustensiles.

De la casserole à la table: approvisionnement, budget, marques du quotidien et dressage qui met en appétit

Le plaisir de ce plat commence dès la liste de courses. Entre boucherie et rayons grande surface, il est possible d’assembler un panier cohérent sans sacrifier la qualité. Pour la viande, une sélection chez un artisan ou un lot soigné type Charal sécurise la texture. Les épiceries du quotidien — huile Lesieur, bouillons Maggi, herbes et épices — composent une base fiable. Les enseignes Carrefour et Leader Price permettent d’ajuster le budget et d’accéder à un choix large de vins et légumes.

Budget maîtrisé, qualité préservée

Avec un peu d’anticipation, le paleron se trouve à bon prix, et une bouteille de pinot noir simple fait parfaitement l’affaire. Les lardons fumés, sans excès de sel, épousent la sauce. L’huile neutre permet une saisie homogène. On bannit les vins agressifs; on privilégie un fruité net et des tanins souples. Une cocotte en fonte, qu’elle soit Le Creuset ou une marque alternative, constitue un investissement durable.

  • 🧾 Astuces d’achat: bons morceaux en promo, stocker et congeler en portions.
  • 🍷 Vin « qu’on boit à table »: règle d’or pour éviter l’amertume.
  • 🥕 Légumes de saison: fraîcheur, prix, goût.

Dressage maison qui fait envie

Le dressage n’a pas besoin de chichis. Assiette chaude, quenelle de purée, cubes de viande brillants nappés de sauce, trois rondelles de carotte pour le relief et des herbes finement ciselées. Un quart de champignon posé sur le dessus pour rappeler la garniture. La tranche de pain de campagne se sert à part pour garder le croustillant. Un filet d’huile Lesieur et le tour est joué.

  • 🍽️ Assiette chaude: la sauce reste nappante plus longtemps.
  • 🌿 Herbes fraîches: persil, ciboulette, touche de couleur.
  • 🔥 Sauce brillante: nappage généreux sans noyer l’assiette.

Échos de la communauté culinaire

Les retours de cuisiniers amateurs et pros sur les réseaux et plateformes de recettes comme Marmiton aident à régler les détails: épaisseur de sauce, taille de cubes, temps exact au four. Les challenges « comfort food » circulent autant sur Instagram que sur X/Twitter; certains mixent tradition et conseil d’appareils modernes. La diversité des approches rassure: il y a mille routes vers un bourguignon réussi.

  • 💬 Conseils partagés: ne pas craindre d’ajuster l’assaisonnement.
  • 🎯 Objectif: viande qui se coupe à la cuillère, sauce qui nappe.
  • 📣 Inspiration: chefs, boulangers, sommeliers — un plat transversal.

Un aperçu des conversations en cours illustre cette effervescence autour du plat.

Entre tradition et astuces contemporaines, le plaisir reste le même: une table conviviale et des assiettes vides à la fin.

Questions fréquentes sur la recette de bœuf bourguignon de grand-mère

Comment garantir une viande ultra fondante en 3 heures sans la surcuire ?

Le fondant résulte du passage du collagène en gélatine vers 3 heures à 150°C ou à faible frémissement. Choisir des morceaux adaptés (paleron, joue, collier), saisir en petites quantités pour caraméliser sans dessécher, puis couvrir et maintenir un frémissement discret. Remuer toutes les 30–40 minutes. La viande est prête quand un couteau s’y enfonce sans résistance et que la sauce nappe la cuillère. Un repos de 10 minutes hors du feu stabilise l’ensemble.

  • ⏳ 3 h en cocotte couverte: repère fiable pour paleron et joue.
  • 🔥 Saisie dorée, pas brûlée.
  • 🧪 Sauce nappante = gélatine extraite correctement.

Quel vin utiliser si le Bourgogne n’est pas disponible ?

Tout rouge souple, fruité et « buvable » convient: côtes-du-rhône, bordeaux léger, fronton, bergerac. Éviter les vins trop boisés ou austères qui pourraient accentuer l’amertume. La règle d’or: ne jamais cuisiner avec un vin qu’on ne boirait pas. En cas d’acidité finale, corriger avec une pincée de sucre cassonade, un carré de chocolat noir 85% ou une réduction douce quelques minutes à découvert.

  • 🍷 Famille sûre: pinot noir, grenache majoritaire, merlot souple.
  • 🧪 Ajustements: réduction + carré de chocolat = sauce arrondie.
  • 🧂 Sel en fin de cuisson pour ne pas forcer la main trop tôt.

Pourquoi fariner (singer) les légumes et la viande avant le mouillement ?

La farine crée une liaison douce qui stabilise la sauce pendant la cuisson longue. Elle capte les sucs et, une fois hydratée par le vin et l’humidité, donne une onctuosité naturelle. On évite l’excès (2 c. s. suffisent pour 1 kg de viande) afin de ne pas obtenir une sauce pâteuse. Si la sauce est trop liquide, laisser évaporer quelques minutes à découvert à la fin.

  • 🥄 2 c. s. pour 1 kg: repère safe.
  • 🍲 Évaporation finale si besoin pour densifier.
  • 🍫 Carré de chocolat en finition pour la profondeur.

Peut-on préparer le bourguignon à l’avance et comment bien le réchauffer ?

Oui, et c’est même recommandé. Une nuit de repos au frais permet aux saveurs de se lier. Réchauffer ensuite très doucement, à feu doux ou au four à 120°C, sans laisser bouillir pour éviter d’effilocher la viande. Ajouter un trait d’eau ou un fond brun si la sauce a trop épaissi au froid. Remuer délicatement pour préserver les morceaux.

  • 🧊 Repos: 12 h au frais, saveurs harmonisées.
  • 🔥 Réchauffe douce: pas d’ébullition.
  • 💧 Ajuster la consistance avec un peu d’eau/fond.

Comment adapter la recette pour une version familiale ou économique ?

Sur le plan budget, panacher artisan et grande surface: boucher + sélection Carrefour ou Leader Price. Le paleron reste un excellent rapport qualité/prix. Pour la famille, servir avec une purée maison qui plaît aux enfants; mixer une petite portion très cuite pour les plus jeunes, en veillant à évaporer l’alcool. Côté placard, l’huile Lesieur et un cube Maggi en appoint dépannent, tandis que l’inspiration recettes se trouve aisément sur Marmiton. Un robot type Thermomix peut accélérer la mise en place, sans toucher au cœur mijoté en cocotte.

  • 🛒 Morceaux malins: paleron, collier.
  • 👨‍👩‍👧‍👦 Purée, pâtes, pain: accompagnements « kid-friendly ».
  • 📲 Idées: retours d’expérience et notations en ligne utiles.

Avec ces repères, la tradition s’accorde au quotidien: un plat réconfortant, accessible et toujours spectaculaire à table.

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Theo

Passionné par la cuisine depuis l’enfance, j’ai 36 ans et je travaille en tant que cuisinier. J’aime revisiter les plats traditionnels et partager mon univers culinaire avec les autres.

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