13 décembre 2025

Recette Cake chèvre et courgettes : le cake salé moelleux

découvrez la recette facile et rapide du cake chèvre et courgettes, un cake salé moelleux idéal pour vos apéros ou repas légers. savourez une alliance parfaite de saveurs fraîches et gourmandes.

Été comme hiver, un cake chèvre et courgettes bien moelleux transforme un apéritif, un pique-nique ou un brunch en moment mémorable. Sa force tient à un équilibre précis entre humidité des légumes et tenue de la pâte, une alchimie qui valorise les courgettes râpées et un fromage de chèvre crémeux. Les cuisiniers avertis misent sur une cuisson à 180°C, une pâte aérée et des herbes parfumées, tandis que les gourmets apprécient une croûte dorée et un cœur fondant, aussi bon chaud que tiède. La recette proposée ci-dessous détaille chaque geste, de l’égouttage au choix du moule, et livre des variantes fiables pour s’adapter à tous les convives.

Pratique, le cake salé s’invite à table sans prétention mais avec caractère. Découpé en tranches fines pour l’apéro, en parts généreuses avec une salade, ou en cubes pour un buffet, il se prête aux envies du moment. Des marques d’ustensiles réputées — Le Creuset, Cristel, Staub, Pyrex, Tefal, Lagostina, Baumstal, Moulinex, Magimix — aident à sécuriser le geste et la cuisson, tandis que des alternatives modernes, végétales ou sans gluten, assurent l’inclusivité des menus en 2025. Les idées d’accompagnements, de conservation et d’accords rafraîchissants ferment la marche pour une expérience complète, du marché à l’assiette.

Cake chèvre et courgettes : recette pas à pas ultra moelleuse et fiable

Cette version de cake salé maximise le moelleux grâce à un triple levier simple : courgettes bien pressées, émulsion œufs–huile–lait et cuisson maîtrisée à 180°C pendant environ 45 minutes. Le cœur reste tendre, la mie se tient à la coupe, et le chèvre, émietté ou en petits dés, disperse ses notes lactées sans saturer la pâte. Pour un résultat constant, un moule antiadhésif Tefal ou un moule en grès Le Creuset offre une chaleur régulière, tandis qu’un cul-de-poule en inox Cristel et un fouet ergonomique facilitent la préparation. Le détail fait la différence : tamiser la farine, saler les courgettes pour les faire dégorger, et mélanger juste ce qu’il faut.

Ingrédients 🧀🥒Durée de préparation ⏱️Nombre de personnes 🍽️
3 courgettes, 200 g chèvre, 4 œufs, 150 g farine, 1 sachet levure, 10 cl lait, 80 ml huile d’olive, sel, poivre, herbes≈ 15 min de préparation + ≈ 45 min de cuisson6 à 8 parts selon le service

Étape 1. Laver puis râper finement les courgettes. Les déposer dans une passoire, saler légèrement et laisser dégorger 10 minutes. Les presser ensuite dans un torchon propre pour extraire l’excédent d’eau : ce geste simple évite une mie spongieuse et garantit un moelleux durable.

Étape 2. Préchauffer le four à 180°C chaleur statique. Mélanger la farine, la levure, une pincée de sel et, si souhaité, des herbes de Provence. Tamiser la farine prévient les grumeaux et aère la pâte, ce qui favorise une levée homogène.

Étape 3. Fouetter les œufs avec le lait et l’huile d’olive jusqu’à obtenir un appareil lisse. Verser ce mélange sur les ingrédients secs en remuant délicatement, puis intégrer les courgettes pressées et le chèvre émietté. Mélanger juste assez pour répartir les inclusions sans corser la pâte.

Étape 4. Verser dans un moule à cake huilé (antiadhésif Tefal ou grès Le Creuset). Enfourner pour ≈ 45 minutes. Un couteau planté au centre doit ressortir propre. Pour un visuel soigné, disposer quelques fines rondelles de courgette sur le dessus avant la cuisson.

Étape 5. Laisser tiédir sur une grille Pyrex ou inox pour évacuer la vapeur et fixer la mie. Servir tiède ou à température ambiante. Pour un cake encore plus parfumé, placer au frais une nuit et réchauffer légèrement le lendemain : les arômes se marient, la texture gagne en fondant.

Les alternatives sont nombreuses sans perdre la signature moelleuse. Une feta friable peut remplacer le chèvre, du yaourt nature substituer le lait pour une note acidulée, tandis que des olives noires, des dés de jambon ou un trait de miel sur le dessus apportent une touche gourmande. Côté technique, un robot râpeur Magimix ou Moulinex accélère la préparation, et une cocotte en fonte Staub peut servir de four inertiel dans les petites cuisines pour une montée en chaleur régulière.

découvrez la recette du cake chèvre et courgettes, un cake salé moelleux parfait pour un apéritif ou un repas léger. facile et rapide à préparer, il ravira vos papilles !

Astuces professionnelles pour réussir un cake salé chèvre-courgettes moelleux

Le secret d’un cake moelleux repose sur la gestion de l’eau et de l’air. Les courgettes libèrent de l’humidité, utile pour la tendreté, mais excessive si elles ne sont pas pressées. En parallèle, l’émulsion des œufs, du lait et de l’huile capture de l’air ; le mélange doit rester délicat pour ne pas faire retomber cette structure. Un moule conduit la chaleur, un four la stabilise : un moule en fonte émaillée Le Creuset ou une plaque lourde sous le moule améliore la diffusion, et un four préchauffé à 180°C garantit une levée constante sans surcuisson des bords.

L’assaisonnement mérite précision. Sel et poivre relèvent sans masquer le chèvre ; une pincée d’herbes de Provence ou de thym apporte un sillage aromatique méditerranéen. Une touche de miel sur le dessus accentue le contraste sucré-salé sans alourdir. Pour une version plus végétale, des alternatives crédibles existent : les substituts d’œufs modernes conviennent à la structure, et des beurres végétaux ou huiles neutres équilibrent le gras.

Erreurs fréquentes et correctifs concrets assurent un résultat régulier. Un cake spongieux évoque souvent des courgettes insuffisamment égouttées ; une mie dense signale un mélange excessif ; un dessus trop foncé indique une cuisson trop haute ou trop longue. Un simple papier aluminium à mi-cuisson protège la croûte, et quelques millilitres de lait supplémentaires corrigent une pâte trop épaisse. Un récipient gradué Pyrex fiabilise les volumes, tandis qu’un fouet électrique Moulinex ou Magimix assure une émulsion rapide sans échauffer la pâte.

  • 🥒 Presser fortement les courgettes dans un torchon: moins d’eau, plus de moelleux.
  • 🌀 Mélanger juste ce qu’il faut: stop dès que c’est homogène pour garder une mie aérée.
  • 🔥 Four stabilisé: 180°C et contrôle au couteau au centre, pas seulement en surface.
  • 🧂 Assaisonnement maîtrisé: sel mesuré, poivre, herbes; un filet de miel pour un contraste élégant.
  • 🍽️ Repos après cuisson: 10 minutes sur grille pour fixer la structure avant de trancher.

Pour les curieux de saveurs et de techniques, quelques ressources inspirantes complètent l’expérience. Une pâte végétale se marie bien avec des explorations comme les alternatives Heura et Just Egg, tandis qu’un service gourmand peut s’accompagner d’une sauce légère à base de végétal comme une crème de noix de cajou réinterprétée en version salée. Côté créativité, ces idées de variantes stimulent l’imagination et aident à sortir des sentiers battus, et un dessert fruité tel que une confiture de rhubarbe maison équilibre l’ensemble du repas par une pointe d’acidité.

Un dernier mot matériel : une poêle en inox Cristel ou une sauteuse Lagostina pour faire suer rapidement des dés de courgette (si l’option choisie remplace le râpé) limite l’exsudation lors de la cuisson au four. Pour la vapeur douce, un couvercle-dôme Baumstal gère l’humidité, et un petit appareil Seb peut assister la cuisson dans de très petites cuisines. L’objectif pratique ne change pas : conserver l’humidité où elle sert le moelleux, l’évacuer lorsqu’elle menace la mie.

Erreurs récurrentes et solutions opérationnelles

Oublier de presser les courgettes détériore la texture. La solution tient dans une presse manuelle, un torchon épais et un geste ferme. Surcuire le cake le rend sec, d’où l’intérêt d’un chronométrage et d’une lame de couteau testée au centre. Trop mélanger la pâte développe le gluten et tasse la mie ; un mélange à la spatule en bois s’arrête dès l’homogénéité atteinte. Avec ces trois réflexes, le résultat devient reproductible et réconfortant, tranche après tranche.

Variantes créatives du cake chèvre–courgettes pour tous les goûts

La base chèvre–courgettes accueille de multiples personnalités culinaires. Une version méditerranéenne ajoute olives noires, zeste de citron et origan ; une lecture campagne mêle lardons grillés, oignons doux et une pointe de moutarde ; une déclinaison sucrée-salée dépose un filet de miel sur le dessus à mi-cuisson. Dans chaque cas, la technique reste identique : courgettes bien égouttées, mélange bref, cuisson surveillée. Le fromage de chèvre évolue aussi : frais pour la douceur, demi-affiné pour le caractère, bûche en petits dés pour des poches fondantes.

Les régimes spécifiques trouvent leur place sans sacrifier le plaisir. Pour une version sans gluten, la farine de riz ou un mix riz–maïs fonctionne, complété par un peu de poudre d’amande pour la souplesse. Pour une orientation low carb, l’amande remplace en grande partie la farine et la levure chimique peut être ajustée pour conserver la levée. Un profil végétarien/végétal peut s’envisager avec un substitut d’œufs performant et un fromage végétal fondant ; on s’inspirera utilement de ces innovations Heura/Just Egg pour calibrer textures et saveurs.

Certains préfèrent un cake plus léger. Dans ce cas, réduire de moitié l’huile et augmenter légèrement le lait préserve la tendreté. Le yaourt nature, voire le babeurre, apporte une acidité qui assouplit la mie tout en soutenant la levure. Des graines de chia ou de lin hydratées renforcent la tenue et boostent le profil nutritionnel. Un rapide passage des courgettes dans une poêle inox Cristel pour évaporer l’eau superficielle concentre la saveur sans graisse excédentaire.

Pour le parfum, un trio thym–basilic–menthe évoque le jardin, tandis que des tomates séchées hachées apportent une salinité umami. Des poivrons grillés, des épinards ou des cèpes poêlés conviennent très bien, et les amateurs de produits de saison apprécieront ces idées autour des cèpes pour construire un menu cohérent. Servi avec une petite salade croquante, un cake marbré de deux pâtes — l’une neutre, l’autre au pesto — crée un visuel surprenant sans technique supplémentaire.

Les curieux de dessert peuvent compléter le repas avec une douceur légère. Après un cake salé, une tarte lactée aérienne offre un joli contrepoint : regard sur une tarte au fromage blanc ou sur sa version alsacienne, peu sucrée et très digeste. Les fans de pâtisserie contemporaine s’amuseront avec un cheesecake style Jay Kelly, tandis que les adeptes du zéro déchet tireront parti d’astuces pour utiliser les restes de crème pâtissière dans de petits choux d’accompagnement. Chaque table trouve son équilibre en alternant textures et intensités.

Organisation, conservation et service du cake chèvre–courgettes, du brunch au pique-nique

Le cake salé séduit par sa logistique simple et sa bonne conservation. Préparé la veille, il se bonifie au frais, bien emballé. Au moment du service, un réchauffage de 8 à 10 minutes à 150–160°C ravive les arômes sans dessécher. Coupé en tranches de 1,5 à 2 cm, il reste moelleux et se tient bien, idéal pour un transport dans une boîte Pyrex hermétique. En buffet, des cubes réguliers évitent les miettes et accélèrent le service ; en repas léger, une belle tranche accompagnée d’une salade suffit.

La congélation se fait en tranches séparées par du papier cuisson, puis emballées. La décongélation au réfrigérateur, terminée par un passage rapide au four, rend la texture presque identique au jour J. Pour l’extérieur, un sac isotherme et un pain de glace maintiennent la fraîcheur, surtout en été. Une cocotte Staub préchauffée peut faire office de cloche de maintien au chaud sur une table champêtre, une astuce appréciée lors des brunchs tardifs.

Questions de timing ? Une organisation simple structure la préparation. Pendant que le four préchauffe, les courgettes dégorgent ; durant la première moitié de cuisson, la salade et la garniture se préparent ; ensuite, le dressage se fait pendant le repos sur grille. Des couteaux bien affûtés donnent des tranches nettes, et un moule antiadhésif Tefal réduit le risque de casse au démoulage. Une brosse douce entretient le grès Le Creuset sans altérer l’émail, prolongeant la durée de vie du moule.

Pour épater sans surcharge, quelques idées de service fonctionnent toujours. Une sauce au yaourt, citron et herbes, une crème légère de feta et menthe, ou un dip au poivron rôti accompagnent la tranche chaude. Un vin blanc sec — sauvignon, vermentino — rafraîchit le palais ; une limonade maison ou une eau infusée convient aux convives sans alcool. Et pour un buffet de fêtes, ce cake s’accorde même avec des mets plus traditionnels comme des boudins blancs de Noël, en contraste de textures et de saveurs.

Pour les tablées généreuses, doubler les quantités fonctionne si deux moules sont utilisés plutôt qu’un très grand : la chaleur pénètre mieux, le dessus colore sans sécher, et les temps restent identifiables. Un minuteur dédié évite la surcuisson, et un simple test au couteau demeure la référence. Au final, le maître-mot reste la constance : contrôler l’eau, garder l’air, respecter la température, puis servir avec générosité.

Accords, accompagnements et idées de menu autour du cake chèvre–courgettes

La délicatesse du chèvre appelle des accompagnements nets. Une salade de roquette, pomme verte et noix de pécan propose du croquant et de l’acidité, contrepoint idéal au gras lacté. Un gaspacho de tomate jaune ou un velouté de petits pois mentholé ajoute un registre froid, parfait en été. Pour un repas complet, on assemble cake, salade, soupe légère et un dessert fruité, l’ensemble équilibrant les textures et les intensités. Les herbes fraîches jouent un rôle d’appoint : basilic, ciboulette, menthe, à parsemer juste avant de servir pour un parfum immédiat.

Un plateau de fromages peut compléter sans redondance en choisissant des familles distinctes : pâte pressée cuite, pâte persillée, chèvre cendré. Le pain, idéalement une miche au levain, structure le service. Côté sucré, place aux desserts acidulés et peu sucrés, qui rafraîchissent après un cake salé : la tarte au fromage blanc reste une valeur sûre, sa cousine alsacienne aussi, et la rhubarbe régale lorsqu’elle est travaillée en compotée. Les amateurs de modernité opteront pour un cheesecake signature avec coulis citronné.

Une astuce de chef consiste à jouer des températures : cake tiède, salade fraîche, soupe froide. Ce contraste dynamise la bouche et fait ressortir les herbes. Les épices s’invitent discrètement, un tour de moulin à poivre long ou une pincée de piment d’Espelette suffisent, et un filet d’huile d’olive de qualité ajoute du fruité. On garde la main légère, car le chèvre et la courgette parlent déjà fort et clair. Un beurrier en faïence réchauffé peut servir de mini-cloche pour garder deux ou trois tranches à température, astuce utile en service au compte-gouttes.

En automne, un menu forestier affirme sa saisonnalité avec des cèpes sautés, en écho à ces propositions de recettes. En hiver, une salade d’agrumes et fenouil apporte du peps ; au printemps, les radis et les jeunes pousses répondent au vert de la courgette ; en été, tomates anciennes et basilic chantent la Méditerranée. Les ustensiles accompagnent l’intention : cocottes Staub ou Le Creuset pour tenir au chaud, grands saladiers acier Cristel pour les mélanges, et couteaux bien affûtés pour une coupe nette.

Matériel, cuisson et fiabilité: choisir les bons ustensiles pour un cake salé impeccable

Le matériel ne remplace pas la technique, mais il la sécurise. Un moule antiadhésif Tefal ou un moule en grès Le Creuset assure une conduction régulière, tandis qu’un cul-de-poule Cristel permet un mélange précis. Un robot râpeur Magimix ou Moulinex accélère la préparation des courgettes, et un pichet gradué Pyrex fiabilise les liquides. Une sauteuse inox Lagostina fait suer délicatement des dés de courgette si l’on souhaite remplacer le râpé, et un couvercle à condensation Baumstal aide à gérer la vapeur lors d’une pré-cuisson douce.

Le four doit être propre, préchauffé et stable. Une pierre réfractaire ou une plaque épaisse sous le moule amortit les variations de température. En chaleur tournante, réduire parfois la température d’environ 10°C pour éviter de brunir trop vite ; en statique, garder le centre du four pour une levée uniforme. Un thermomètre de four indépendant révèle les écarts et aide à corriger les temps. La croûte doit être dorée et sèche au toucher ; au couteau, la lame sort propre, sans traces humides.

La sécurité du démoulage tient à trois paramètres. Un graissage fin du moule, une cuisson complète, puis un repos de quelques minutes sur une grille sans condensation. Si le cake accroche, passer délicatement une spatule souple le long des bords. Pour des tranches nettes, un couteau-scie propre et des mouvements réguliers limitent les miettes. Dans un cadre professionnel ou associatif, multiplier les moules permet d’enchaîner deux fournées sans allonger le temps total, utile pour grandes tablées.

Pour optimiser le goût, une réhydratation aromatique du dessus fonctionne bien : en sortie de four, badigeonner d’un voile d’huile d’olive, parsemer de thym frais et de quelques grains de sel. Les herbes s’ouvrent sous la chaleur résiduelle, et la croûte gagne en parfum. En version sucrée-salée, un filet de miel fluide souligne le chèvre sans dominer. Une touche de zeste de citron apporte de l’élan au palais, et un poivre blanc travaille la longueur. Avec ces ajustements sensibles, la signature moelleuse du cake se prolonge jusqu’à la dernière bouchée.

Pour un buffet thématique, on peut juxtaposer ce cake avec des inspirations sucrées simples à réaliser la veille. Une tarte fromagère légère fait un contrepoint idéal, comme le montrent ces pistes de tarte au fromage blanc et de tarte au fromage blanc d’Alsace. Les esprits expérimentalistes iront vers un cheesecake moderne, alors que les adeptes du zéro gaspi s’inspireront d’astuces pour utiliser des restes de crème pâtissière en mignardises. Chaque élément s’agence avec le cake sans le masquer, et le résultat révèle la personnalité de la table.

Peut-on préparer la pâte à l’avance sans perdre le moelleux ?

Oui, jusqu’à 4 heures au réfrigérateur. Ramenez la pâte à température ambiante 10 minutes avant d’enfourner et mélangez brièvement pour réhomogénéiser sans casser l’émulsion.

Quelle est la meilleure température de cuisson pour éviter la sécheresse ?

Visez 180°C en chaleur statique pendant environ 45 minutes. Si le dessus colore trop vite, couvrez de papier aluminium et terminez la cuisson jusqu’à ce que la lame du couteau ressorte sèche.

Comment conserver un cake moelleux pendant 3 jours ?

Emballez-le serré au film alimentaire ou en boîte hermétique Pyrex, au réfrigérateur. Réchauffez 8–10 minutes à 150–160°C pour réactiver les arômes sans dessécher.

Quelles alternatives au chèvre pour varier les goûts ?

Feta émiettée pour la légèreté, tomme de brebis pour du caractère, ou fromage végétal fondant. Ajustez le sel selon la salinité du fromage choisi.

Peut-on congeler et comment décongeler correctement ?

Oui, tranchez avant congélation. Décongelez au réfrigérateur puis réchauffez quelques minutes au four. La texture retrouve son moelleux sans passage au micro-ondes.

Avatar photo

Theo

Passionné par la cuisine depuis l’enfance, j’ai 36 ans et je travaille en tant que cuisinier. J’aime revisiter les plats traditionnels et partager mon univers culinaire avec les autres.

Voir tous les articles de Theo →
afflec.fr
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.